Faire revivre nos ancêtres en nous et cultiver cette relation permet de renouer avec nos propres racines et de raviver un sentiment d’appartenance souvent bafoué dans une société qui nous a éloignés de notre environnement naturel.
En remontant suffisamment loin dans nos lignées pour explorer les racines animistes de notre existence, il est possible de retrouver les sagesses anciennes et les valeurs relationnelles que nos ancêtres entretenaient avec l’ensemble du Vivant. Ces valeurs favorisent l’ouverture, la tolérance, le respect et permettent de mieux comprendre les mécanismes qui se jouent dans le monde. Une telle approche peut conduire à une transformation personnelle, familiale et planétaire durable, invitant au respect du Vivant et à la libération collective.
Pourquoi la Guérison des lignées?
Nous sommes tous les descendant de peuples qui, autrefois, entretenaient un rapport étroit avec la Terre et toutes formes de vie, y compris le monde des défunts. Cette relation fondée sur le respect, la réciprocité et rythmée par des rituels, cérémonies et traditions ancestrales a maintenue l’équilibre, la connexion et le dynamisme de notre espèce humaine à travers des millénaires.
Répandu en Afrique, en Amériques, en Asie et dans certains pays d’Europe, le culte des ancêtres se pratiquait bien avant l’expansion des religions, s’inscrivant dans un désir d’harmonie globale entre les morts et les vivants, les humains et autres formes de vie (animaux, végétaux, minéraux, etc.), visible et invisible. Cependant, pour beaucoup en occident, ce rapport aux ancêtres a été rompu.
Une partie du travail de Guérison avec les Ancêtres consiste à restaurer ce lien, afin de raviver notre sentiment d’appartenance, de respect et de relation les uns aux autres, y compris au monde vivant qui nous habite et nous entoure. La sagesse de nos lointains ancêtres et leur vision animiste du monde ne sont pas anciennes mais existent toujours et représentent 98% de notre ADN.
Redonner vie à ses ancêtres en soi et cultiver ce rapport permet de renouer avec ses propres racines et d’apporter ce sentiment d’appartenance souvent bafoué au sein d’une société qui nous a éloignée de notre environnement naturel.